Panique à la TransiSchool

Tranche d'âge : 12 - 15 ans
Nature d'activité : Mener une animation
Type de support : Jeu
Sommaire

    Le jeu d’enquête pour impulser le changement !

    Découvrez « Panique à la TransiSchool », un outil pédagogique sous forme de jeu d’enquête à destination des 11-15 ans. Co-créé par Bio Consom’acteurs et Artisans du Monde, « Panique à la TransiSchool » sera disponible à la commande à partir du 15 mai 2021. 

    « Panique à la TransiSchool », c’est le nouvel outil pédagogique proposé par Bio Consom’acteurs et Artisans du Monde aux enseignant·es, animateurs et animatrices, pour sensibiliser les jeunes entre 11 et 15 ans aux alternatives solidaires et durables.

    Au travers d’un jeu d’enquête par équipe, les jeunes sont plongé·es dans les rouages de la mondialisation et découvrent ses impacts. Cinq chemins, ponctués d’énigmes et d’indices à collecter, leur feront découvrir les enjeux associés à des univers de leur quotidien (petit-déjeuner, vestiaire, cantine, jardin, salle de bains).

    Animé par une ou deux personnes, « Panique à la TransiSchool » permet aux joueurs et aux joueuses, en partant de leur quotidien, d’acquérir des connaissances sur le monde qui les entoure, de développer un esprit critique sur le système économique dominant et de découvrir les alternatives. Surtout, ce jeu les invite à passer à l’action pour participer à une transition écologique et solidaire !

    Un outil pédagogique pour rendre les jeunes acteurs et actrices du changement

    Face aux inégalités et à l’urgence climatique, le commerce équitable dispose d’un formidable potentiel d’éducation et de sensibilisation, notamment des jeunes en tant que citoyen·nes, consommateurs et consommatrices, acteurs et actrices du changement et futur·es professionnel·les.

    Le commerce équitable parle d’inclusion et de vivre-ensemble. Au-delà de l’échange commercial, il favorise le respect et la reconnaissance de la place de chacun·e dans le monde, il encourage à s’unir pour privilégier l’intérêt général et, dans ses modes de production et de décision, s’appuie sur des processus démocratiques avérés, basés sur le respect des droits sociaux et de l’environnement.

    C’est en s’appuyant sur ces principes fondamentaux que l’Éducation au Commerce Équitable (ECE) ambitionne de promouvoir un autre modèle de mondialisation et une société plus juste, dont les différentes facettes sont valorisées dans « Panique à la TransiSchool ! ».

    L’histoire de la TransiSchool, un collège pas comme les autres

    Le collège de la TransiSchool s’applique à avoir un fonctionnement vertueux pour la société et la planète. Ce qui plaît à beaucoup de personnes, mais qui peut en énerver certaines… qui vont s’y introduire pour la saccager… C’est la panique à la TransiSchool : les participant·es mènent l’enquête !

    L’action se déroule un soir de semaine dans le collège. A la TransiSchool, on consomme des produits bio, équitables, de saison, locaux. Les produits d’hygiène et de nettoyage sont fabriqués pendant les cours de science par les élèves. Camille, la maraîchère du collège, travaille sur place et cultive un potager dans le jardin de la TransiSchool. Elle gère aussi les achats de la cantine en circuits courts : pain, fromages et autres produits issus des fermes alentour. Les modes de production de l’ensemble des fournitures sont analysés avec la plus grande vigilance. La rénovation du bâtiment a été faite en utilisant des matériaux écologiques, et un récupérateur d’eau de pluie a été installé sur le toit, et sert à arroser le potager.

    Bref, c’est une école qui relève les défis mondiaux actuels. Mais cela ne plaît pas à tout le monde…

    En effet, ce soir-là, cinq intrus·es entrent dans le collège pour le saccager. Cinq élèves internes vont tenter de retrouver les coupables, avant que le jour ne se lève et que les externes n’arrivent…

    Alors, prêt·es à mener l’enquête ?

    « Panique à la TransiSchool ! » est un outil pédagogique innovant co-créé par Bio Consom’acteurs et Artisans du Monde. Il a été conçu et réalisé dans le cadre du programme d’éducation au commerce équitable « Fair Future », avec le soutien financier de l’Agence française de développement.